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Sup. 4,008 hect. 64 ares; pop 2,008 hab. Traversée par le Son. Occupé par le terrain jurassique moyen et les terrains tertiaires. Moëllons. - Alt. 155m. Au dessus de Gontibert. (H. Coquand, 1862). - 1,777 hab (Adolphe Joanne, 1883).
Cellae Fruini abbatia 1110 (Cart. égl. Ang.); de Cella Froyni 1197 (Lib. feod.). L'abbaye (cella) "fut fondée vers 1025 par Arnauld de Vitabre, évêque de Périgueux, avec l'aide de plusieurs habitants, dont un nommé Frouin, qui donna son nom au monastère". (Martin-Buchey). Mais le village existait sans doute avant le XIe siècle sous le nom de Celle. V. Rousselot, 153. On l'appelle encore dans la région de ce seul nom. (Jean Talbert, 1928) V. Biblio
"Un lieu dit Pierre Levée, sur la rive droite du Son, entre Chez-Metteau et Chez-Gontibert; bloc de 1.50m sur 0.80m. Un autre lieu dit Pierre Plantée, dans la propriété de Bellevue, rive gauche du Son."Chauvet, Bulletin et Mémoires de la Société Archéologique et Historique de la Charente, année 1899, p. LXV.
[1793] Pierre Daniel Sardain demeure à Fonfais;
- Camp romain du Champ-du-Combat. - Eglise abbatiale romane (portail ogival). - Lanterne des morts (XIIe s; 12.50m de haut.). - Font Saint-Martial - "Pierre qui danse" (FAvraud);

Cellefrouin
(1998)

Est situé dans l'agreste vallée du Son.

Le nom Cellefrouin signifie:

"Ermitage de Frouin".


"C'était, dit-on, autrefois, une ville immense qui s'étendait sur les communes environnantes et qui s'appelait la ville des Lans. Rien n'appuie cette croyance, si ce n'est, dans la pensée du peuple, les restes d'un camp antique, quelques débris de murs oubliés que le paysan déterre en de rares en-droits et des 'chirons', tas de pierres qui masquent parfois d'anciennes constructions. En réalité, Cellefrouin est une énigme pour les gens du pays. Tandis que tous les villages de la région, grands et petits, sont bâtis sur les hauteurs ou sur les flancs des coteaux, Cellefrouin seul est au fond de la vallée, dans un lieu humide, sans soleil et sans vue. Comment les premiers habitants ont-ils pu se fixer en cet endroit? A cette question que tout le monde se pose, la légende seule jusqu'ici s'est chargée de répondre. On raconte que l'église devait être bâtie sur la hauteur, en plein soleil, mais que, chaque nuit, le travail de la jour-née était démoli. Voyant dans ce fait un signe de la volonté du Ciel, le chef maçon aurait lancé son marteau dans les airs en s'écriant 'là où mon marteau tombera, l'église s'élèvera'. Le marteau tomba sur le bord de la vallée au milieu du marécage. Néanmoins le chef maçon tint parole et l'église y fut bâtie. Cette légende n'est point propre à Cellefrouin. On en trouve une à peu près semblable au sujet de l'abbaye de Puypéroux..."
Abbé
Rousselot, thèse: "les modifications phonétiques du langage étudiées dans le patois d'une famille de Cellefrouin en Charente" (chapitre 1: géographie et histoire, p. 152);

| Les Fadets .pdf(24ko) | Mégalithe détruit (1871): Dolmen (N. 415 - Section E) Pierre Levée. Références: 1881, Mémoires S A C - Une pierre levée signalée par Michon, Marvaud, Joanne, Favraud. - M. Béguet, instituteur à la Bussatte a repéré et parcouru un certain nombre de gisements en général néolithiques. - Notes (Sénemaud), 1860, 330. - D'après le Pouillé, le Livre des fiefs (abbé Nanglard), 1893, 91, 105; 1894, 35, 63; 1899, 266; 1904-5, 308, 386 (St Martin). - Arrêt du Parlement relatif à des jeux (Chauvet, Favraud), 1904-2, LXIV; 1908-9, XXVII, XXIX. - Actes civiques des habitants (Chauvet), 1912, XL. - La dime des pommes de terre (Imbert), 1914, XXXVIII. | Gervais, Mémoires sur l'Angoumois, Misère des Habitants de Cellefrouin au XVIIIe siècle, .pdf(8ko), (Communiqué par M. Château, instituteur, à Aunac), Etudes Locales, 3e année, N. 23, juillet 1922, pp.225-226. | -Don par la commune de pierres tombales (Triou), 1914, LXXXV. - Note dans bull. du Synd. init. (Maze-Censier), 1929, LXIX. - Signes lapidaires (Béquet), 1923, XIX, LXXVII. - Dessin de la lanterne des morts, don (Jeandel), 1926-7, LIX; son mauvaius entretien (Delamain), LXXIII. - Glossaire des noms de lieu (Béquet), 1930, XLVII; plaque de cheminée à La Merlière aux armes de l'évêque Jacques du Perron, XXXVI. - Station préhist. de la vallée du Son (Béquet), 1925, XXIII. - Temple du Breuil (Béquet, abbé Chevalier), 1928, LXXX, LXXXI. - Monographie de l'église offerte par M. Béquet; 1932, p. XLIII. - Glossaire des noms de personnes dans la région; 1932, p. LXIII. - Lanterne des morts; 1932, p. 82-96 (mémoire); 1933, p. XLVI-XLVII. - Le cartulaire de l'abbaye St-Pierre de Cellefrouin par le chanoine Chevalier; 1936, p. XCIII. - Elévation cotée de la lanterne des morts par M. Jeandel; 1937, p. LVI. - Commentaires linguistique du cartulaire de Cellefrouin par M. Vallée; 1941, p. LVIII., MSAHC, 1953, p. 39 | E. Béquet, Pourquoi le Bourg de Cellefrouin est-il mal situé, BMSAHC, année 1923, 8e série, tome XIV, pp. LXXVII-LXXXIII, .pdf(26ko) |

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